Sous couvert d’humour, son sketch est une diatribe contre les chattes. Comment arrêter la haine de soi et apprendre à nous aimer sans dénigrer notre intime ?

Que faut-il comprendre par « non pénétration » dans cet épisode ? C’est le choix, dans l’intimité hétérosexuelle, de se passer de l’insertion du sexe de l’homme dans le sexe de la femme.

Je crois au tantra comme espace puissant de guérison des parts de nous les plus vulnérables et blessées. Et je crois en mon chemin comme une preuve que la magie et la transformations sont toujours possibles.

Annie Sprinkle définit l’écosexualité comme une expérience élargie de l’amour et du plaisir sensuel.
Elle invite chacun de nous à se connecter à la nature et à en tirer du plaisir et, idéalement, être inspiré pour lui rendre la pareille.

Aujourd’hui, dans le nouvel épisode de Vulvées, je vous parle de ma relation aux sextos.

Bien sûr, je trouve ça aussi valeureux qu’inconscient d’oser plonger dans les territoires du sexto, porté par l’enthousiasme, le désir et l’excitation.

Dans son livre Pussy A réclamation, dont je vous ai déjà parlé dans un épisode précédent, Regena Thomashauer parle de la vulve et du sexe des femmes comme le siège de leurs désirs les plus profonds.

En mars dernier, j’étais à un stage de tantra de femmes qui durait pendant tout un week-end. Et le vendredi soir quand je suis arrivée au stage, ma vulve a commencé à me faire mal.

L’orgasm gap, c’est la conclusion qui est apparue à la suite d’études statistiques qui ont été menées. Dans les relations hétérosexuelles, les femmes ont beaucoup moins d’orgasmes que les hommes.

Quand il s’agit de représenter des vulves, on croule sous les détournements végétaux les fruits, les fleurs ou les fruits et les fleurs… avec des doigts dedans.